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Aide mIRC : Alias
1 La section Alias.Allez dans le menu Tools/ Alias/. L’éditeur mIRC démarrera avec la section Alias ouverte. Ignorez tout simplement les autres sections pour le moment ! L’éditeur mIRC est l’interface utilisée par toutes les sections de programmation de mIRC. Avec la section Alias, il y a un menu File qui vous aidera à charger, décharger et sauver vos fichiers d’alias. Le menu ‘Edit’ offre le copier/coller et une routine de recherche. Le menu ’View’ vous permet de sélectionner le fichier d’alias que vous voulez éditer. Et le menu ‘Alias’ vous donne un index du fichier courant. Dans la section Alias, vous pouvez définir des raccourcis pour les commandes fréquemment utilisées telles join, part, quit, oper et déoper ou n’importe quoi d’autre. Même ce que vous dites souvent peut être mis dans un alias... En général, tout ce que vous pouvez taper sur la ligne de commande (là où vous tapez ce que vous dites) peut être mis dans un alias. Les alias peuvent aussi exécuter plusieurs commandes d’un seul coup. Vous pouvez même définir des alias qui sont lances par les touches F1 - F12... (Enfin une utilité pour ces touches jamais utilisées...) Dans mIRC, vous pouvez même appeler des alias depuis des alias, des popups ou des remotes. Dans les nouveaux mIRC, il est possible d’avoir plusieurs fichiers d’alias. mIRC vient avec un fichier ‘alias.ini’ et vous lui pouvez ajouter des alias ou décider d’ajouter un fichier entier avec des alias. C’est très Facile !
1-1 Créer des alias.
Commençons par un exemple. Pour joindre un channel, vous tapez normalement
: /join #nom
... Ou #nom est le nom du channel, bien sur. Comme cette commande est utilisée souvent, il serait sympa d’en taper le moins possible, non ? Alors, créons un alias pour "/join #nom" - créons un raccourci, un alias. Au lieu de taper "/join #nom", faisons en sorte de que taper "/j #nom" donne
le même résultat. Dans ce cas, l’alias serais : /j /join $1 Syntaxe des alias. Les alias utilisent le format suivant : "/{nomdelalias} /{commande}" En d’autres mots, tout d’abord votre raccourci (comme "/j" dans l’exemple précédent), puis un espace, puis la commande vers laquelle pointe votre raccourci (comme /join" dans l’exemple précédent). Dans la définition d’un alias, il n’est pas *nécessaire* de spécifier le caractère de commande / puisqu’il n’est vraiment nécessaire que quand vous tapiez des commandes sur la ligne de commande. Pour plus de clarté, l’ai décide d’utiliser le / dans ce tutoriel. Mais souvenez-vous que l’alias "j join $1" marchera aussi bien. Les alias utilisent aussi de nombreux identificateurs et chaînes de caractères spéciaux. Il y a de nombreuses chaînes tels $1, $1-3, $$1, $?, $!, #$1, #$$1 et même #$?. Les chaînes sont remplies par ce qui est spécifié quand l’alias est appelé. Elles sont très dynamiques dans leur utilisation. Les identificateurs sont similaires aux chaînes, mais sont remplis par une valeur standard. Les plus importants sont : #, $me et $url mais la liste est longue et en constante évolution. Pour vous donner une meilleure idée, $read $date $adate $fulldate $time et $day sont d’autres identificateurs. Ne vous inquiétez pas, on vous expliquera tout quand il le faudra. Pour l’instant, concentrons nous sur le $1. Apres tout, c’est la
chaîne que nous avons utilise dans notre exemple ci dessus
$1 signifie "le premier mot tape après l’alias, quel qu’il soit." Alors si vous tapez "/j #test", mIRC saura que ceci est un raccourci pour "/join #test". Si vous tapez "/j #coucou", il saura que c’est un raccourci pour "/join #coucou". Commandes multiples. Maintenant, disons que vous aimeriez joindre plusieurs channels d’un seul coup. Un alias peut le faire. Séparez juste les commandes par le caractère | (sur la majorité claviers français on l’obtient en appuyant sur la touche Alt-Gr (a droite de la barre d’espace) et sur le chiffre 6 (pas celui du pave numérique) pour les autres claviers, débrouillez vous :-) )... Le caractère | est appelé ‘pipe’. Supposons que vous voudriez pouvoir taper ‘/j3’ suivi de trois channels et qu’ils soient tous joins d’un seul coup. L’alias serais : Donc, si vous placez cet alias dans Tools/Aliases et que vous tapez ... mIRC fera "/join #test1" puis "/join #test2" et enfin"/join #test3". Vous comprenez donc bien que $1 signifie le premier mot tape après l’alias. Et $2 est bien sur le deuxième mot, $3 le troisième... Maintenant, mIRC s’attend bien sur a recevoir 3 mots - vos noms de channels. Alors, que ce passerait-il si vous tapiez juste "/j3 #test1" ? mIRC se plaindrais a propos des paramètres manquant, puisqu’il s’attends a recevoir plus de channels. La solution a ce problème est la chaîne $$1, qui sera expliquée plus tard. Exemple : /say Disons que vous dites toujours la même chose dans un channel, comme l’adresse de votre home page, ou quoi que ce soit... Regardez ces alias utilisant "/say" : "/say" tape simplement le texte indique dans la fenêtre courante. Le dernier exemple vous montre comment utiliser /say pour plusieurs lignes de texte dans un seul alias. Séparez juste les commandes par le caractère |. Vous voyez aussi que tous les alias n’ont pas de chaîne dedans. Exemple : /me Actions dans un alias... Le deuxième exemple utilise la chaîne $1. Si vous tapez "/bisou Caro", cela serais équivalent a "/me embrasse Caro partout !" Partage de chaînes. Plusieurs commandes peuvent aussi utiliser la même chaîne.
Dans cette définition, le paramètre $1 est utilise deux fois. Si vous tapiez "/jtest #test", tout d’abord, vous vous joindre au channel #test, puis, changera le topic du channel en "un petit test". Un autre exemple suivant le même style :
si il vous tapiez "/aime Caro", mIRC ferais "/say j’aime Caro !" et puis "/say j’aime réellement Caro !!". Changement de mode (oper, etc.). Pour mettre les commandes que vous utilisez souvent dans une section
d’alias, vous devez tout d’abord connaître la structure normale de la commande.
Oper quelqu’un sur IRC demande normalement la commande :
...dans laquelle jusqu'à trois personnes peuvent être mentionnées,
pourrais devenir l’alias :
pour oper Laure, Maryline et Thomas, vous n’avez plus qu’a taper "/op Laure Maryline Thomas" le # dans cet alias montre l’utilisation de l’un des identificateurs.
Le # remplace toujours le #channel du channel sur lequel le l’alias est utilise...
dans le même style, il est possible de faire des alias tels :
/ban /mode # +b $1 /kick /kick # $1 /dbk /mode # -o $1 | /kick # $1 | /mode # +b $1 IMPORTANT : respectez les espaces ! C’est très important ! Il est impératif d’inclure des espaces entre
les chaînes et le reste de votre texte ! par exemple :
...ne marchera PAS ! il doit y avoir un espace entre la chaîne "$1"
et vos "!!!". Cela peut parfois paraître bizarre quand vous utilisez des commandes
tels /say, alors prêtez y attention.
...marchera juste comme il faut. Ceci est vrai avec toutes les chaînes. Pour faire en sorte qu’un cas soir plus simple, la spécification des channels, quelques chaînes spéciales ont été créés qui ajoutent en préfixe le caractère #. Elles sont #$1, #$$1 et #$?. Des détails sont donnes ci dessous. Dans quelques cas, vous pouvez faire : /like /say I really like $1’s topic (pas trouve d’exemple en français), mais rappelez-vous : pas toujours !! Vous aurez a tester dans chacun des cas ou vous voulez l’utilisez. Ou peut on utiliser les alias ? Les Alias peuvent être utilisez sur la ligne de commande (là où vous tapez d’habitude les commandes), et vous pouvez même utiliser les alias dans les popups et les remotes, ce qui sera explique dans les sections suivantes. Les touches de fonctions peuvent aussi être utilisées sur les nick sélectionnés dans la liste des noms dans les channels, et dans les fenêtre de query, etc.... tout dépends de la définition de l’alias. Il est même possible d’appeler un autre alias depuis un alias, mais pas soi même, récursivement. Appeler un alias depuis un autre alias utilise un paquet de mémoire, alors, il se peut que cela cause des problèmes dans certaines situations ou la mémoire manque... Dans les cas ou un alias rentre dans une boucle, utilisez la combinaison de touches CTRL+Pause pour arrêter le processus. Alias spéciaux, touches de fonctions. Une définition spéciale est possible pour être lancée par une touche
de fonction. Le format de la définition est la suivante :
/f2 /topic # Hop, un nouveau topic Vous pouvez maintenant taper "/f1" pour dire bonjour a tout un channel
... mais il est plus pratique d’utiliser la touche F1 ! D’autres exemples :
/f6 /join #mirc /f9 /dcc send $1 c:\serve\mircfq31.zip /f10 /dcc send $1 c:\serve\mirc50s.exe /f11 /dcc send $1 La touche F9 enverra la FAQ de mIRC a la personne sélectionnée dans la liste des nick. N’oubliez pas de choisir un nick d’abord, ou vous aller voir des trucs bizarres (mais logiques)... Vous pouvez même utiliser la touche F9 dans une fenêtre privée, de query ou DCC chat ! La touche F11 vous demandera le nick a qui envoyer le fichier... Et bien... a vous, inventez vos propres touches de fonctions utilisant
les touches de fonctions... et amusez-vous bien ! il est aussi possible d’utiliser
-shift- et -ctrl- en combinaison des touches de fonctions. Juste comme il suit
:
/sf1 /say J’ai utilise Shift+F1 pour dire ca. /cf1 /say J’ai utilise CTRL+F1 pour dire ca. Utilisations des crochets d’évaluation. Vous pouvez dorénavant utiliser [ et ] dans les alias pour contrôler
l’ordre d’évaluation des identificateur. Les crochets peuvent maintenant être
utiliser dans les popups et les remotes de même. Les identificateurs entre crochets
seront évalués en premier, de gauche a droite. Vous pouvez aussi mettre plusieurs
niveaux de crochets. Ceci permet d’évaluer les chaînes dans le sens que vous
le souhaitez... les crochets ne seront pas affiches dans le texte résultant
ou dans la commande. Exemples :
/sayvar /say % [ $+ [ $1 ] ] Les définitions sans crochets sont évalués de la même façon que précédemment. Alias dans les scripts. Vous pourrez facilement charger les différents fichiers d’alias dans mIRC en plus de ceux que vous avez déjà. Ouvrez l’éditeur d’alias (Tools/Aliases/) et aller dans File/Load/. C’est facile de sélectionner un fichier avec des alias maintenant. Sélectionnez ‘View’ pour voir tous les fichiers chargés. C’est un moyen facile d’échanger des alias entres amis. Les alias peuvent aussi être inclus dans un fichier complet de scripts et distribues avec des remotes et des événements. On expliquera ceci un peu plus tard.
1-2 Définition des chaînes.Maintenant, Vous devriez avoir une section d’alias correcte. Vous devriez être intéressé par une liste complète des chaînes et des identificateurs que vous pouvez utiliser dans les alias, et plus tard, dans les popups et les remotes. Les deux sections qui suivent vont tous vous les présenter. A partir de maintenant, essayez tous les exemples pour être sur de bien les comprendre et pour pouvoir les utiliser vous-même. $N La chaîne la plus simple, elle contient un mot. Par exemple,
$1 contient le premier mot après l’alias. $2 contiendrais le deuxième mot, et
$3 le troisième... Exemple :
Tapez "/op #test Maryline Canard" pour oper Maryline Canard sur #test.
Tapez "/tape jet poisson" pour donner a jet une bonne odeur de poisson :o) $N-M Cette chaîne contiendras une sélection de mots. Essayez
Tapez "/trois riri fifi loulou donald" pour voir apparaître "Les trois premiers mots sont riri fifi loulou" ou donald a été ignore. Note : la notation $N-M remplace la vieille notation *N-M. $N- Cette chaîne peut contenir BEAUCOUP de mots... $1- contiendras
le premier mot, *et* tous les suivants. Essayez :
La commande "/dire mIRC est super" avec cet alias donnera : j’aimerais
bien vous dire que mIRC est super". $2- contiendras le second mot et les suivants...
Essayez
Notez bien que cette commande aurais été la même si elle avais été écrite "/mess /msg $1 $2-". La notation $N- remplace la vieille *N. $$1 Un alias contenant cette chaîne sera utilisée SEULEMENT
si un paramètre est donne, sinon, l’appel de cet alias sera ignore. Par exemple,
si vous essayez cet alias
Et si vous tapez "/j" (a la place de "/j #channel")... mIRC vous ignorera car vous n’avez pas inclus de nom de channel. Sinon, il marche de même qui $1 - il contient le premier mot. $$2 contiendras le deuxième mot... $? Celui là est pas mal !
Un alias avec cette chaîne en lui peut-être démarre sans spécifier de paramètres. mIRC affichera une boite de dialogue, dans laquelle du texte peut-être entre. Exemples : /bisou /me embrasse $? de toutes ses forces $?="text" Une autre version de $?. mIRC affichera la boite de dialogue mais demandera un type spécial d’information. Essayez : /bisou /me embrasse $?="Qui embrasser?" de toutes ses forces $! Cette chaîne est utilisée seulement avec $?. Si vous venez d’utiliser $? juste avant dans un alias, vois pouvez utiliser $! Pour rappeler cette chaîne. Par exemple : /ami /say $? Est mon copain | /say j’aime beaucoup $! #$1 -et- #$$1 -et- #$? Ce sont des versions spéciales des $1, $$1 et $?. Pour être utilisées avec des noms de channels, elles ajoutent un # au début du paramètre. Essayez : il va être possible de faire "/j test" a la place de "/join #test" essayez aussi :
1-3 Identificateur.Un identificateur est un type spécial de chaîne. Dont le contenu est toujours défini par la façon dont l’alias, le popup ou un remote (soyez un peu patient) est appelé, les identificateurs retournent toujours une information prédéfini. # Celui ci est le plus important, il contient toujours le
nom du channel dans lequel l’alias est exécuté. C’est important car beaucoup
de commandes telles /mode requièrent que vous spécifiiez le nom du channel.
exemple :
tapez "/op Laure", et Laure deviendra op sur le channel courant. $me cet identificateur contient toujours votre nick. Vous
pouvez l’utiliser dans toutes sortes de situation, par exemple :
/offre /me offre mIRC version 5.31, faites "/ctcp $me xdcc send #1" pour le recevoir. /away /me est parti ( $1- ) | /away $1- | /say Les messages pour $me seront stockes. Ou donnes un alias :
essayez et changez votre nick alors par "/nick <nouveaunick>" $read [-nl#] <fichier.txt> cet identificateur est marrant.
Il choisit une ligne au hasard dans le fichier et insère cette ligne dans l’alias.
Cette ligne peut contenir du texte, et, aussi, des commandes ! De plus $!read
qui est la même que $read sauf qu’il n’est pas évalué la première fois qu’il
est inséré dans les routines d’alias. Ceci est pratique si vous avez besoin
d’évaluer le $read a chaques fois. Le paramètre -n évite l’évaluation de la
ligne, il fait en sorte que la ligne soit traitée comme du texte ! Par exemple
:
/kick /kick # $1 $read c:\mirc\kicksrigolo.txt /débile /say $read -l5 debile.txt $readini [-n] <fichierini> <section> <item> Similaire a $read cet identificateur lis des items d’un fichierini. Il est utilisé avec la commande /writeini. Les deux utilisent les routines standard de windows pour écrire et lire dans les fichiers ini. On pense que les commandes $readini et /writeini vont ouvrir de nouvelles possibilités pour écrire vos propres actions automatiques sur IRC. Le paramètre -n évite l’évaluation de la ligne. $url Cet identificateur contient la page que votre navigateur
WWW Netscape vous montre actuellement. Exemples :
/mu /me trouve cette URL géniale : $url $ip Votre adresse IP. Identificateurs définissables par l’utilisateur. (Section écrite a l’origine par Li0nheart) Comme vous venez de le constater, mIRC a un grand nombre d’identificateurs intégrés que vous pouvez utiliser dans vos alias et remote. Il est aussi possible de créer ses propres identificateurs, et ils peuvent être configurer pour faire virtuellement tout ce que vous voulez ! Les identificateurs sont programmes dans la section alias et ils ressemblent comme deux gouttes d’eau à des alias, sauf qu’ils se teramoint par /return X. Vous pouvez faire retourner tout ce que vous voulez. Par exemple, la somme de deux nombres. /somme { Maintenant, il est possible d’utiliser l’identificateur $somme
partout dans des alias, popups ou remote. Par exemple, dans un popup :
Ou l’alias Alias:
(par la même occasion, il ne sert a rien de faire une commande /somme... qui ne marche pas) Tous les paramètres donnes a un identificateur sont sépares par des virgules. Vous pouvez utiliser toutes les instructions du type if/then/else dans les définitions identificateur. Vous pouvez par exemple vérifier que tous les paramètres sont la, et retourner une erreur dans le cas contraire. Par exemple, cette routine calcule quel pourcentage X par rapport à Y. /pourcent { la première ligne s’assure que tous les paramètres sont là, le reste est le calcul du pourcentage, ou un morceau est là pour s’assurer que le total fait 100%. L’identificateur devrait être appelé avec, par exemple, $pourc(56,100) qui retournerais 56%. Les nombres ne sont pas la seule chose qu’un identificateur peut retourner. Il peut aussi retourner du texte, ou des combinaisons de texte et de nombres, par exemple, un format d’heure américain (7:52 pm) : /atime { Avec un peu d’imagination, vous pouvez faire des identificateurs pour tout ce que vous voulez. Par exemple, parler en verlan ou mettre en couleurs toutes les lettres. Amusez-vous bien !
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